Colonna, forcément coupable

Est-il encore temps de remédier aux failles de la procédure ? Il est permis d’en
douter, tant ces lacunes sont conséquentes.

Christophe Kantcheff  • 26 février 2009 abonné·es

On a vu procès plus serein. Le 9 février, s’est ouvert le procès en appel d’Yvan Colonna – accusé du meurtre du préfet Érignac –, jugé devant une cour d’assises spécialement composée de magistrats professionnels pour les affaires de terrorisme. Et depuis ce jour, on ne compte plus les paroles viriles et les incidents de séance. Mieux : un

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Publié dans le dossier
Dom-Tom : Le temps des colonies
Temps de lecture : 2 minutes