Balade avec Robert Wyatt

Avec l’Orchestre national de jazz, Daniel Yvinec
a élaboré un projet autour de Robert Wyatt, où apparaissent des chanteurs d’univers très différents.

Éric Tandy  • 21 mai 2009 abonné·es

Avec sa voix blanche, employée, dit-il, comme « une sorte de bruit » , et ses mélodies à la fois pures et alambiquées, le Britannique Robert Wyatt passe souvent pour une sorte de légende sage du rock, même si son univers englobe aussi l’avant-garde, les musiques du monde, les comptines et le jazz. Depuis ses débuts dans les sixties , avec un groupe appelé Soft Machine (un nom bien sûr emprunté au roman de William Burroughs), celui qui se faisait le ­chantre de la pataphysique, avant d’affirmer bien haut des opinions marxistes

Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !

Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :

Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
(mot de passe oublié ?)
Culture
Temps de lecture : 3 minutes