Sa hargne et son courroux

Jean-Claude Renard  • 18 juin 2009 abonné·es

Le 18 avril 1988, une dépêche de l’AFP tombait dans toutes les rédactions : « Desproges est mort d’un cancer. Étonnant, non ? » Difficile de ne pas croire à une blague. Desproges avait pourtant prévenu : « Moi, je n’aurai jamais de cancer ! Je suis contre ! » La publication intégrale de ses spectacles, de ses Chroniques de la haine ordinaire et des sévices commis au Tribunal des flagrants délires ont rendu largement

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