Le « pôle de radicalité »

Les Communistes unitaires plaident dans et hors du parti pour le regroupement d’une gauche antilibérale.

Denis Sieffert  • 10 septembre 2009 abonné·es

Ils ont déjà une longue histoire. Héritiers lointains des Refondateurs [^2] de 1989 – dont les chefs de file étaient Charles Fiterman, Anicet Le Pors et Guy Hermier –, les Communistes unitaires ont connu plusieurs métamorphoses depuis le début de la décennie 2000. Les Refondateurs de l’époque ont peu à peu reçu le renfort de la plupart des courants critiques du PC, dont des personnalités comme Pierre Zarka, ancien directeur de l’Humanité et transfuge de l’orthodoxie. Autour de l’historien Roger Martelli, à l’époque directeur de la revue Futurs, de députés comme Patrick Braouezec et François Asensi, des personnalités comme Catherine Tricot et Gilles Alfonsi, un « pôle de radicalité » s’est peu à peu constitué pour plaider en faveur d’États

Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !

Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :

Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
(mot de passe oublié ?)
Temps de lecture : 4 minutes