De quels droits ?/Otages mais pas coupables

Christine Tréguier  • 28 janvier 2010 abonné·es

Ils n’ont pas de nom et pas de visage. Ce sont juste « les deux journalistes de France 3 » et leurs trois accompagnateurs afghans, enlevés le 29 décembre sur la route entre Surobi et Tagab, à une centaine de kilomètres au nord-est de Kaboul. Ils y réalisaient un reportage pour l’émission « Pièces à conviction ». Depuis, pas de nouvelles ou presque. Silence et discrétion, pour ne pas interférer sur les négociations. La consigne est si bien appliquée que les journaux d’information de France

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