Quand le passé frappe à la porte

Dans « la Pierre »,
de Marius von Mayenburg, une maison cristallise les chocs historiques de l’Allemagne : la folie hitlérienne et la partition du pays.

Gilles Costaz  • 11 février 2010 abonné·es

Un auteur de la nouvelle génération (il a 38 ans), Marius von Mayenburg, se penche sur le passé de l’Allemagne dans la Pierre, qu’un vieux passionné de la culture germanique et du communisme, Bernard Sobel, a monté au Centre dramatique de Dijon et présente à la Colline. À force de voir tant de pièces de Brecht ou d’Heiner Müller, on avait fini par ne voir nos voisins qu’à travers les yeux de ces auteurs, scrutant sans cesse les années du nazisme triomphant et de la Seconde Guerre mondiale.

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Culture
Temps de lecture : 3 minutes