Loin de Cancún, chez les Mayas
À 200 et 300 kilomètres de la conférence et de le ville touristique factice de Cancún, il y a les paysans mexicains qui ne peuvent s’offrir le luxe de s’intéresser aux débats sur le climat alors qu’ils souffrent déjà du réchauffement et du changement de périodicité des pluies: le dérèglement de la planète est déjà dans le Yucatan. Et dans cette province, il y a aussi les fantastiques vestiges de la civilisation Maya, qui fut détruite par les colonisateurs.
Une civilisation violente, il serait absurde de le nier, mais aussi une civilisation qui respectait et utilisait tous les rythmes naturels, notamment pour l’agriculture. Il en reste ces vestiges mais aussi la langue maya que les paysans parlent encore. Ce sont eux qui ont obtenus qu’au pied des temples et sur les murs, toutes les explications soient données en langue maya. L’Institut national d’archéologie et d’histoire a souhaité que les journalistes découvrent et les paysans et les constructions de leurs ancêtres. Malheureusement, cela n’intéresse guère le presse puisque mercredi nous étions six a avoir répondu à leur invitation. J’ai pensé que ces Mayas méritaient que Politis diffusent quelques-uns des lieux qu’ils continuent de vénérer.
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