Post mortem

Ni paradis ni enfer, le Royaume accueille les morts. En toute absurdité.

Marion Dumand  • 24 mars 2011 abonné·es

Voilà une bande dessinée qui se lit comme un quotidien. Parce qu’elle se présente sous une forme similaire. Sans couverture, ses ­doubles pages immenses obligent à écarter les bras, à secouer les feuilles pour en enlever les plis. Et la

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Culture
Temps de lecture : 1 minute