L’intelligence collective de la société

Les politiques à gauche
doivent travailler en étroite relation avec les citoyens
et les associations, seule façon de réussir vraiment à faire
de la politique autrement.

Véronique Dubarry  • 15 septembre 2011 abonné·es
L’intelligence collective de  la société
© Véronique Dubarry est adjointe au maire de Paris EELV, en charge des personnes en situation de handicap.Photo : AFP / ImageForum

« Politique autrement ». Depuis vingt-cinq ans d’utilisation, ces mots sont vilipendés, synonymes d’utopie et d’éloignement de la vraie vie. Pourtant, face à l’abstention, à la crise de confiance généralisée des citoyens pour le personnel politique, qui oserait penser qu’il n’est pas urgent de faire « autrement » ? Mais que cela veut-il dire, au-delà de quelques questions sensibles comme le cumul des mandats, la représentation de la diversité ou la parité ?


Prenons en vrac les questions des salles de consommation pour toxicomanes, de la vidéosurveillance, des installations temporaires dans des immeubles vacants ou sur des friches longtemps inoccupées, de l’accessibilité des villes et des bâtiments. Elles sont considérées par la politique « routinière » comme

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Idées
Temps de lecture : 4 minutes