Tiens, tiens, une présidentielle (3) …
… interlude (comme on disait du temps de l’ORTF !)
L’interlude d’autrefois était un charmant petit train
qui courait la campagne entre deux émissions, le temps pour la speakerine de se repoudrer le nez ; ou qui venait occuper l’écran lors des « incidents techniques » qui émaillaient le programme de la chaîne unique …
Le charme des commencements. Et je suis plutôt nostalgique de cette époque où quand on disait « la télé », nul n’était besoin de préciser la chaîne, et pour cause.
Un temps sans cette p#!°*#! de publicité, qui fabrique des générations de débiles … Un temps où le public était respecté et non tiré vers le bas, et où l’instrument était fédérateur, et non désintégrateur.
Bon. Fini. Vivre avec son temps. Et avec ses bons côtés : comme cette pochade qui circule sur la toile.
(Merci les Guérandais !)
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