« Les Enfances Chino » de Christian Prigent : Du noir, pas du sépia

Sur un mode implosif, Christian Prigent livre une enfance plurielle.

Christophe Kantcheff  • 4 juillet 2013 abonné·es

Les Enfances Chino arrive après quelques livres où Christian Prigent, déjà, revient sur les années 1950 et 1960. Des livres qualifiés de romans qui, sans se succéder, sont marquants, touffus, les plus volumineux – ou les plus épiques – de son ample bibliographie. L’enfance est aussi un thème courant chez les écrivains mais il ne faut pas l’entendre chez Prigent comme un seul retour vers le passé. La nostalgie est son ennemie. L’enfance,

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Littérature
Temps de lecture : 2 minutes