Beria, le bourreau au double visage

Jean-Jacques Marie signe un portrait édifiant du chef de la police de Staline.

Denis Sieffert  • 7 novembre 2013 abonné·es

La scène se passe à la conférence de Yalta. Roosevelt se penche vers Staline et lui demande : « Qui est cet homme assis en face de l’ambassadeur Gromyko ? » « Ah, répond Staline, c’est notre Himmler, c’est Beria. » La comparaison avec le chef de la SS en dit long sur le personnage. C’est l’une des nombreuses anecdotes rapportées par l’historien Jean-Jacques Marie dans le livre passionnant qu’il consacre à la figure centrale de la terreur stalinienne.

Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !

Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :

Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
(mot de passe oublié ?)
Idées
Temps de lecture : 3 minutes