« La Belle Jeunesse », de Jaime Rosales : Vie sans crédit

Jaime Rosales filme la difficulté d’être jeune aujourd’hui en Espagne.

Christophe Kantcheff  • 11 décembre 2014 abonné·es

Nous relevions il y a peu les propos d’Annie Ernaux dans son dernier livre, le Vrai Lieu, au sujet des jeunes, qualifiés de « grands sacrifiés ». C’est l’objet du film de l’Espagnol Jaime Rosales : la Belle Jeunesse. Titre ironique, car cette période de la vie dans notre époque, plus particulièrement en

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Cinéma
Temps de lecture : 2 minutes