Ne pas oublier les Syriens
Si l’on veut se soucier des Syriens, il faut admettre que la rébellion ne cessera pas avec un accord qui leur imposerait de nouveau le boucher de Damas.
Article paru
dans l’hebdo N° 1371 Acheter ce numéro
dans l’hebdo N° 1371 Acheter ce numéro
Du haut de la tribune des Nations unies, lundi, Vladimir Poutine a proféré une vérité première : ce n’est ni aux États-Unis ni à la France de choisir les dirigeants syriens. On ne saurait évidemment aller contre. Il aurait pu ajouter que ce n’était pas non plus à la Russie ou à l’Iran. Avouons tout de même que cette belle profession de foi démocratique a de quoi étonner de la part de l’autocrate du Kremlin. Mais il a raison