La COP 22 en état de léthargie
L’annonce de l’élection de Donald Trump a écrasé les débats d’une COP 22 déjà bien moribonde.

L’élection du nouveau président américain connu, entre autres, pour ses convictions climato-sceptiques, a submergé toutes les molles discussions en cours à la conférence sur le climat. Les délégués de la plupart des pays étant envahis par un sentiment d’inutilité. Sauf, par exemple au pavillon de la Russie dont un attaché de presse répétait inlassablement aux curieux : « ce n’est pas une mauvaise nouvelle, car la communauté va pouvoir se consacrer à des questions plus sérieuses que le temps qu’il va faire dans trente ans ».
Autre forme d’optimisme, celui de Brice Lalonde, successivement conseiller de Nicolas Sarkozy et de François Hollande pour l’environnement ou le climat. Pour l'ancien ministre de Michel Rocard, « les protecteurs de l’environnement et ceux qui luttent contre le dérèglement climatique ont bien déjà résisté à Georges W. Bush, alors
Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :
Pour aller plus loin…

Climat : ce qu’il faut retenir du rapport de synthèse du GIEC

BNP Paribas, « banque la plus polluante de France », assignée en justice

La lutte contre la relance du nucléaire s’organise
