Dans l’enfer du travail précaire
Le journaliste Thomas Morel s’est infiltré pendant deux ans dans cinq entreprises. Il en a tiré des reportages saisissants sur la vie quotidienne de millions de salariés.
dans l’hebdo N° 1471 Acheter ce numéro

L’usine, beaucoup l’imaginent. Peu la connaissent. » Faire ressentir – un peu – la réalité du travail le plus dur et le plus précaire, c’est ce que parvient à faire Thomas Morel, journaliste infiltré pendant deux ans dans cinq entreprises des Hauts-de-France. Il a tour à tour « disposé en cadence des chocolats industriels dans leurs boîtes alvéolées, répondu en boucle à des clients invisibles, tenté de vendre des contrats de gaz et d’électricité au porte-à-porte, réclamé de l’argent à des débiteurs pris à la gorge, et monté et vissé des trains
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