Les veilleurs des territoires
En dépit des offensives libérales, les acteurs de l’ESS veulent continuer d’agir pour l’innovation locale et le maintien du lien social.

© JEAN-PHILIPPE KSIAZEK/AFP
La période actuelle est troublée pour l’ESS, à la fois parce que les politiques gouvernementales marquent le déni de ses fondements, mais aussi parce que ses forces internes sont contraintes de se réorganiser sous la pression d’un haut-commissaire à l’ESS qui a une vision partielle et partiale de ce qu’elle est, affirmant ainsi dans Le Journal du dimanche : « L’ESS, c’est du capitalisme d’intérêt général. »
Face à cette position, les acteurs de l’ESS arrivent (enfin) à s’organiser autour d’un projet politique explicite porté par ESS France (1) : « La force collective de l’ESS française repose d’abord sur son histoire commune, celle des “utopies concrètes” nées des aspirations sociales du XIXe siècle et des mouvements qui les ont portées puis rendues possibles, au point de participer à la constitution du contrat social français : associations,
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