« Ondine », de Christian Petzold : Eau profonde
Avec Ondine, Christian Petzold reprend et actualise la légende de la nymphe et signe un film d’une remarquable grâce poétique.
dans l’hebdo N° 1620 Acheter ce numéro

Dans le musée historique de la capitale allemande où Ondine Wibeau (Paula Beer) propose des visites guidées, celle-ci explique que les origines de Berlin datent du XIIIe siècle. Le nom de la ville signifie « marais asséchés ». Or l’eau est au cœur de la légende d’Ondine, qui a inspiré Christian Petzold, l’un des plus fameux représentants de la nouvelle génération de cinéastes allemands. Il n’y a pas forcément de sens caché dans cette opposition qui contribue surtout à produire un effet poétique, comme plusieurs autres signaux parsemés au long du film.
Si l’on retrouve en effet chez Christian Petzold une inclination pour les atmosphères
Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :
Pour aller plus loin…

« L’Île rouge » : la magie de Fantômette

Le Festival de Cannes : toujours vivant

Cannes 2023 : un palmarès judicieux
