« La Maladie » de Libero Bigiaretti : Un coup de vieux

Dans La Maladie, Libero Bigiaretti imagine qu’un mal mystérieux s’abat sur un jeune ambitieux sans scrupule.

Christophe Kantcheff  • 12 mai 2021 abonné·es
« La Maladie » de Libero Bigiaretti : Un coup de vieux
Dès 1958, Libero Bigiaretti proposait une critique acerbe du capitalisme.
© MARCELLO MENCARINI / Leemage via AFP

Au début, La Maladie a des allures kafkaïennes. À son réveil, Gino Rovelli, la trentaine, ne se sent pas bien. « Passablement alarmé, il se regarda dans le miroir et y aperçut avec horreur une image qui ne correspondait pas à la sienne : des cernes gonflés et livides, un regard éteint, des lèvres sèches, un teint jaunâtre. » Quelle métamorphose le jeune homme est-il en train de subir ? De quel mal est-il atteint ? C’est le premier fil du récit que développe Libero Bigiaretti, écrivain italien peu connu en France, né dans la région des Marches en 1905 et décédé

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Littérature
Temps de lecture : 3 minutes