Sellig, rehausseur de quotidien
Plutôt discret dans les médias, l’ancien cuistot régale son public avec des tranches de vie ordinaire. En apparence. Conjuguant l’absurde et une réalité augmentée par ses farces et attrapes.
dans l’hebdo N° 1689 Acheter ce numéro

En bougre d’âne et d’andouille, Gilles Magnard a pris son temps avant de plonger dans une vocation. Après des études brillamment quelconques, à user des frocs en fond de classe, il est orienté en cuisine, à l’école hôtelière Rabelais, en région lyonnaise. « Au moins, je serai au chaud et je mangerai bien ! » se dit-il alors. Diplômes en poche, il passe, à l’âge de 20 ans, à l’épluche dans les bouchons lyonnais. Cuisine traditionnelle pur jus. Cervelle de canut, tablier de sapeur sauce gribiche, saucisson pistaché, patates soufflées, andouillette et tétines de vache persillées… Du consistant, avant de passer second de cuisine, deux
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