« Viens je t’emmène », d’Alain Guiraudie : Jours intranquilles à Clermont-Ferrand

Dans Viens je t’emmène, Alain Guiraudie insuffle de la comédie dans une histoire inspirée de notre présent incertain.

Christophe Kantcheff  • 2 mars 2022 abonné·es
« Viens je t’emmène », d’Alain Guiraudie : Jours intranquilles à Clermont-Ferrand
© Films du Losange

Isadora, une prostituée d’un certain âge (Noémie Lvovsky), et l’un de ses clients qu’elle ne fait pas payer, Médéric (Jean-Charles Clichet), parce qu’il est contre la prostitution et qu’il lui procure du plaisir, sont à leur affaire dans une chambre d’hôtel. Quand, soudain, la télévision allumée sur une chaîne d’info annonce qu’un attentat vient d’avoir lieu en plein centre de Clermont-Ferrand, non loin du quartier où ils se trouvent. Un peu plus tard, un jeune SDF arabe, Selim (Iliès Kadri), sera autorisé par Médéric à trouver refuge dans son immeuble,

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Cinéma
Temps de lecture : 3 minutes