« Couteau/Haute Forme » : Super Parquet, pied au plancher
Mêlant airs traditionnels, rythmes électroniques et crépitements bruitistes, le groupe « néo-trad » publie un double album intense et irrésistible.
dans l’hebdo N° 1728 Acheter ce numéro

Remarquable représentant de la mouvance néo-trad (ou post-trad, si l’on préfère), très vivace en France depuis quelques années, Super Parquet réunit en son sein quatre jeunes musiciens : Julien Baratay (machines, voix), Antoine Cognet (banjo), Simon Drouhin (boîte à bourdon électrique, synthés, effets) et Louis Jacques (voix, cabrette, cornemuse) – un aréopage pour le moins atypique. S’ajoute l’ingénieur du son Léo Petoin, qui réalise tous les enregistrements et apparaît comme le cinquième membre de la bande.
Tout a démarré en 2012 au Cefedem Auvergne Rhône-Alpes (un centre de ressources professionnelles et d’enseignement supérieur artistique). Alors dans leur vingtaine, Julien Baratay, Simon Drouhin et Louis Jacques s’y sont rencontrés dans le cadre de leurs études et sont devenus amis.
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