« Diamonds and Pearls » de Prince, un hymne à la joie
Sorti en 1991, le disque de Prince, fait l’objet d’une édition remastérisée et richement augmentée.
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© FRANZ-PETER TSCHAUNER / DPA-Picture-Alliance/AFP
Au début du beau livret qui accompagne l’édition « Super Deluxe » de l’album de Prince de 1991, Diamonds and Pearls, se trouve un texte de Chuck D, rappeur du groupe Public Enemy. À l’aube des années 1990, après l’échec de son disque Graffiti Bridge, Prince décide de s’ouvrir frontalement au courant qui bouscule la musique noire américaine depuis quelques années : le rap. Dans sa carrière, c’est une bascule puisque, si Prince avait déjà eu timidement recours à des paroles rappées, il est surtout connu à l’époque pour avoir fustigé cette musique qu’il juge sans instruments. L’histoire voudrait que « Fight the Power » de Public Enemy l’ait aidé à se positionner plus clairement.
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