À lire : « L’Année de grâce » de Kim Liggett
L’Année de grâce, Kim Liggett, traduit (de l’américain) par Nathalie Peronny, Casterman, 448 pages, 25 euros.
Tierney quitte son comté pour une année de survie, seule, en forêt. Une année redoutée de toutes : « Personne ne parle de l’année de grâce. C’est interdit » ; difficile de partir sereine lorsqu’on ne sait pas ce qui nous attend. Inspiré du roman La Servante écarlate de Margaret Atwood, le roman dystopique L’Année de grâce aborde les thèmes de la sororité et du patriarcat. Il décrit une société où les femmes sont réprimées et où les hommes n’hésitent pas à les châtier lorsqu’elles tentent une rébellion. Ce roman se révèle être une prise de conscience et un message d’espoir d’un changement pour les femmes.
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