Violences en ligne, haine réelle

Impunité de ses auteurs, impuissance des pouvoirs publics, détresse des victimes : les cyberviolences sont massives, quotidiennes, et banalisées. Les deepfake, revenge porn et autres contenus intimes partagés sans consentement sont autant d’armes sexistes utilisés en ligne, alors que s’ouvre un procès contre neuf hommes accusés d’avoir cyberharcelé l’artiste, Typhaine D.,