Les durs toujours là

Marine Le Pen veut faire croire qu’elle s’est débarrassée de l’aile la plus infréquentable de son parti. Là aussi, de l’esbroufe.

Michel Soudais  • 12 janvier 2012 abonné·es

L’affaire a fait un peu de bruit au moment des cantonales. Des clichés publiés sur Internet montraient Alexandre de Gabriac, jeune conseiller régional du FN dans le Rhône, en train de saluer bras tendu devant un drapeau hitlérien. Marine Le Pen exige illico son exclusion. D’autres vont suivre. Trois mois et demi après la passation de témoin entre les Le Pen, notent Abel Mestre et Caroline Monnot (voir

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