L’élection la plus chère…
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On ne sait pas qui sera président (ou présidente) des États-Unis, ni même qui seront les candidats pour le duel final, mais on sait déjà que ce sera le scrutin le plus cher de l’histoire. D’ici au 4 novembre, au moins un milliard de dollars devrait être englouti. Le magazine Fortune parle même de trois milliards. Le record précédent était détenu par la campagne de 2004, avec 693 millions de dollars. Hillary Clinton aurait recueilli jusqu’ici 115 millions, contre 103 à Barak Obama. Pour l’heure, les candidats républicains qui ne sont pas moins bien pourvus sont simplement plus discrets. À ce prix, cela fait cher la démocratie. Mais, au fait, est-ce vraiment encore de la démocratie ?
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Monde • 9 juillet 2025
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Les principes du droit international restent inscrits dans les traités et les discours. Mais partout dans le monde, ils s’amenuisent face aux logiques de puissance, d’occupation et d’abandon.
Par Maxime Sirvins

Histoire • 9 juillet 2025
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Le droit international, outil de progrès ou de domination : des règles à double face
Depuis les traités de Westphalie, le droit international s’est construit comme un champ en apparence neutre et universel. Pourtant, son histoire est marquée par des dynamiques de pouvoir, d’exclusion et d’instrumentalisation politique. Derrière le vernis juridique, le droit international a trop souvent servi les intérêts des puissants.
Par Pierre Jacquemain

Histoire • 9 juillet 2025
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La déroute du droit international
L’ensemble des normes et des règles qui régissent les relations entre les pays constitue un important référent pour les peuples. Mais cela n’a jamais été la garantie d’une justice irréprochable, ni autre chose qu’un rapport de force, à l’image du virage tyrannique des États-Unis.
Par Denis Sieffert

Entretien • 2 juillet 2025
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Yassin al-Haj Saleh : « Le régime syrien est tombé, mais notre révolution n’a pas triomphé »
L’intellectuel syrien est une figure de l’opposition au régime des Assad. Il a passé seize ans en prison sous Hafez Al-Assad et a pris part à la révolution en 2011. Il dresse un portrait sans concession des nouveaux hommes forts du gouvernement syrien et esquisse des pistes pour la Syrie de demain.
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