« Nous voulons de réelles négociations »
Les ministres de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur reculent un peu sur leurs réformes. Pascale Dubus* revient sur les motifs d’une mobilisation toujours active.
dans l’hebdo N° 1045 Acheter ce numéro
Le gouvernement a reculé d’un pas sur ses réformes concernant l’enseignement. Les concours de recrutement sont maintenus en l’état jusqu’en 2010. Et, à l’obtention du concours, ces « fonctionnaires stagiaires » auront un tiers de leur emploi du temps en formation continue, ce qui demeure insuffisant même si la réforme prévoyait au départ un plein-temps devant la classe après le concours. Soit de jeunes enseignants jetés dans l’arène. Autre recul du ministre, sous forme de promesse : pour les étudiants en master 2, les stages « ne seront pas utilisés pour couvrir des besoins en remplacement de personnels en congé ou des besoins permanents d’enseignement ». Pour le reste, c’est sans réponse. Rien sur
Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :
Pour aller plus loin…

« Face à nous, féministes, le système se défend »

Polytechnique : les étudiants ont gagné, LVMH ne s’implantera pas

Anticor : le palmarès 2023 des Prix éthiques et des Casseroles
