Une perte de pouvoir

La Société des rédacteurs du Monde a vu sa capacité de contrôle décroître au fil des changements de statut et des réorganisations.

Jean-Claude Renard  • 24 juin 2010 abonné·es

Sept ans après la création du journal, la Société des rédacteurs du Monde (SRM) est née de la volonté d’occuper une position de contrôle. Elle répond alors à une crise, comme il est écrit dans ses statuts, liée « à la mise en cause de la ligne éditoriale de son directeur, Hubert Beuve-Méry, par plusieurs actionnaires initiaux ». André Chênebenoit, rédacteur en chef, dessine alors les bases

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Publié dans le dossier
Une défaite du journalisme
Temps de lecture : 2 minutes