Mitterrand élu pharaon

Olivier Py met en scène le parcours du président socialiste et son rapport à la mort. 
Une double approche peu convaincante.

Gilles Costaz  • 24 mars 2011 abonné·es

Ce n’est pas fréquent qu’un ­théâtre national consacre un spectacle à l’histoire immédiate, encore brûlante, de la France. C’est ce que fait Olivier Py avec Adagio [Mitterrand, le secret et la mort] , à l’Odéon-Théâtre de l’Europe. Il le fait en centrant son évocation sur la grande duperie de Mitterrand : il n’a jamais révélé l’existence du cancer qui le rongeait, alors qu’il connaissait son mal au moment de sa première victoire à l’élection présidentielle, en 1981. Mais Py est un poète

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Culture
Temps de lecture : 3 minutes