Une candidate trop consensuelle
A force de vouloir fédérer toutes les tendances du PS, Martine Aubry semble manquer d’espace pour imposer une voix plus personnelle et singulière. Au risque de ne pas se démarquer assez de son rival.
Pour lire la suite de cet article, identifiez-vous ou créez un compte :
Article réservé
Pour lire cet article :
Consultez nos offres d’abonnement,
à partir de 5€/mois.
Déjà abonné(e) ?
Identifiez-vous.
Vous pouvez aussi acheter le journal contenant cet article ici