Chevènement candidat : une erreur ?
Le président d’honneur du Mouvement républicain et citoyen a décidé de se présenter à l’élection présidentielle. Pour Jean-Philippe Domecq, il fait preuve d’une fière irresponsabilité. Pour Dominique Rousseau, sa candidature s’inscrit dans la logique de la Ve République.
Article paru
dans l’hebdo N° 1177 Acheter ce numéro
dans l’hebdo N° 1177 Acheter ce numéro
Jean-Philippe Domecq , romancier et essayiste français. À paraître, sur le même sujet : Cette obscure envie de perdre à gauche, éditions Denoël, 2 février 2012.
Alain Juppé eut le mot : « J’ai beaucoup d’admiration pour Jean-Pierre Chevènement ; repartir au combat en sachant qu’on fera, quoi, 3, 4, 5 pour cent, c’est une force d’âme qui mérite le respect »… Et Brice Hortefeux, dans un accès de largesse : « Jean-Pierre Chevènement est un homme de gauche sincère et expérimenté, c’est-à-dire tout le contraire du projet socialiste porté par François