Le rire et l’effroi

La victoire inattendue de Jean-François Copé et le bon score de la motion « La droite forte » traduisent l’extrême droitisation de l’UMP.

Michel Soudais  • 22 novembre 2012 abonné·es

La démocratie n’est pas dans la culture de l’UMP. S’il était besoin, le scrutin organisé pour élire son président en a fourni la preuve. Dimanche, le grand parti de la droite avait prévu 650 bureaux de vote pour près de 180 000 votants – par comparaison, le PS en ouvre près de 3 000 pour 100 000 électeurs. Résultat : des files d’attente soviétiques et un « bordel

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Politique
Temps de lecture : 2 minutes