Avignon In : à cris perdus dans la nuit
Par les villages de Handke et Shéda de Niangouna desservent leur sujet en se déployant longuement, sans relief ou dans la confusion.
dans l’hebdo N° 1261 Acheter ce numéro
Le 67e Festival d’Avignon s’est ouvert avec de grandes paroles, de grands débordements de mots, de clameurs, d’injonctions et d’incantations. Les langages très contraires de l’Autrichien Peter Handke et du Congolais Dieudonné Niangouna se déploient longuement dans la nuit provençale, le premier dans la vénérable Cour d’honneur du Palais des papes, le second dans le cirque de pierre de la carrière Boulbon. Pourtant, rien de vraiment mémorable ne se produit dans ce coup d’envoi seulement courageux, où s’affirme un amour du verbe et des textes – que prolongeront des spectacles à venir comme la transposition des
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