« Much loved », de Nabil Ayouch : Le sexe dans la ville ocre

En montrant la prostitution, Much loved, de Nabil Ayouch, révèle les contradictions marocaines.

Anaïs Heluin  • 16 septembre 2015 abonné·es
« Much loved », de Nabil Ayouch : Le sexe dans la ville ocre
Much loved , Nabil Ayouch, 1 h 48.
© Pyramide Film

Much loved est plus pudique qu’il n’y paraît. Certes, les nuits de Noha, Randa, Soukaina et Hlima sont pleines d’alcool, de danses lascives et de parties de jambes en l’air. Le tout arrosé de dirhams. Mais Nabil Ayouch ne montre pas uniquement les quatre prostituées dans leur quotidien de passes et de lubricité surjouée. Il les filme aussi avant et après. Chez elles, à parler de tout et de rien, à faire la fête avec des copains transsexuels ou

Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !

Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :

Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
(mot de passe oublié ?)
Cinéma
Temps de lecture : 2 minutes