Visa pour l’image, visa pour le chaos

À Perpignan, Gerd Ludwig et Andres Kudacki proposent deux reportages plutôt inattendus.

Jean-Claude Renard  • 2 septembre 2015 abonné·es
Visa pour l’image, visa pour le chaos
Visa pour l’image , Perpignan, jusqu’au 13 septembre. Entrée libre.
© Andres Kudacki/AP

C’est le lot de chaque édition de Visa pour l’image. Et cet opus numéro 27 n’y échappe pas. Rendre compte, témoigner, informer sur le monde tel qu’il va (mal). Avec, au programme du festival international de photojournalisme, la Syrie et ses ravages, le séisme au Népal, l’épidémie d’Ebola, les émeutes au Burundi… Les festivaliers pouvaient s’y attendre. Non qu’il faille oublier la Syrie, les conditions de vie des réfugiés à travers le Moyen-Orient, les migrants sur le bassin méditerranéen, ou ignorer les atrocités en République centrafricaine et une Somalie broyée par les guérillas. Mais, sans doute, le

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Culture
Temps de lecture : 3 minutes