La douleur et le crime
Moi, Olga, de Tomas Weinreb et Petr Kazda, est le portrait saisissant d’une jeune homosexuelle qui a terrifié la Tchécoslovaquie des années 1970.
Article paru
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En rentrant de chez le médecin, sa mère lâche : « Il faut beaucoup de volonté pour se suicider, ma fille. Tu n’en as pas assez. » Direction la maison de correction, où Olga (Michalina Olszanska) n’a envie ni des caresses des autres filles ni
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