Rêves de comptoir
Dans Cafés, etc., Didier Blonde nous invite dans les bars qu’il fréquente dans la vie ou au cinéma.
On connaissait jusque-là Didier Blonde comme un pisteur de fantômes, de personnes et de faits tombés dans l’oubli. Versé dans le septième art, il a par exemple écrit sur des figures du cinéma muet. Il est aussi parti à la recherche d’une femme rencontrée il y a longtemps. Lors du tournage d’une scène de Baisers volés en 1968, au café Le Disque bleu, où lui comme la perdue de vue étaient figurants.
Dans Cafés, etc., l’auteur met à nouveau son écriture hybride, entre l’essai et la fiction, au service de l’univers du bar. Renonçant cette fois à toute enquête, il se livre à une promenade très personnelle dans les cafés qu’il aime. Et dresse ainsi un autoportrait pudique où la rêverie se mêle au réel.
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