Un humour dingue

Dans un tourbillonnant seule-en-scène, Marie-Magdeleine incarne plusieurs personnages bipolaires avec délicatesse.

Anaïs Heluin  • 18 décembre 2019 abonné·es
Un humour dingue
© DR

Une clope invisible à la main, se parlant à elle-même avec un drôle d’accent où le brut côtoie le maniéré, Marie-Magdeleine ouvre son seule-en-scène dans la peau de Sophie, la directrice du G.R.A.I.N. ou « Groupe de réhabilitation après un internement ou n’importe ». Elle attend, monologue-t-elle, une comédienne qui doit animer un atelier de théâtre pour les adhérents de la structure, une association pour « usagers bipolaires ». Mais autre chose la tracasse : il faut se préparer pour

Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !

Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :

Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
(mot de passe oublié ?)
Théâtre
Temps de lecture : 2 minutes