La famille Fassbinder
Julie Deliquet adapte la série télévisée réalisée par le cinéaste allemand en 1972, Huit heures ne font pas un jour. Avec son esprit de troupe, elle fait honneur à la joie et à l’utopie de cette œuvre unique.
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Les grandes histoires d’amour et les sagas familiales sont pour Julie Deliquet des terreaux fertiles pour faire du théâtre « In Vitro », nom de son collectif fondé en 2009. Cette année-là, elle monte Derniers Remords avant l’oubli de Jean-Luc Lagarce, maître des foyers déchirés et des passions qui finissent mal. Avec la troupe de comédiens qu’elle met alors en place, la metteuse en scène dit l’éclatement des cellules sociales traditionnelles et la création de nouvelles manières d’être ensemble et de penser l’avenir. Dans son triptyque Des années 70 à nos jours, elle poursuit avec son groupe son travail fondé sur l’improvisation, ses expériences collectives basées sur un temps long de répétition. Ce qu’il faut pour que
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