Ce qui reste de l’Anatolie
En invitant son père, musicien traditionnel turc, sur scène, la comédienne Hatice Özer interroge la distance entre deux générations, deux imaginaires.
De son père Yavuz, Hatice Özer a des souvenirs dont le temps n’a pas estompé les mystères. Elle le revoit, par exemple, entouré d’un auditoire exclusivement masculin, d’âge mûr sinon avancé, parler pendant des heures au fond de kebabs et de cafés.
Il reste 94% de l'article à lire.
Pour lire la suite de cet article, identifiez-vous ou créez un compte :
Article réservé
Pour lire cet article :
Consultez nos offres d’abonnement,
à partir de 5€/mois.
Déjà abonné(e) ?
Identifiez-vous.
Vous pouvez aussi acheter le journal contenant cet article ici