Honey Harper : de la country d’aujourd’hui
Honey Harper propose une recréation réussie des grandes heures de la néocountry des années 1970.
dans l’hebdo N° 1741 Acheter ce numéro

Honey Harper propose une recréation réussie des grandes heures de la néocountry des années 1970.
« De la musique country, ou du moins ce qui en tenait lieu de nos jours, s’échappait de l’autoradio. » James Sallis écrivait cette phrase en 2007 dans son roman Salt River et le hasard fait qu’on la lit parallèlement à l’écoute du deuxième album d’Honey Harper, les deux se percutant étrangement. Comme une réponse du musicien natif de Géorgie, aujourd’hui installé au Canada, à l’état des lieux désabusé du romancier.
Avec un ton, une façon d’utiliser la voix au bord de l’étranglement, la gravité latente et toute l’artillerie country pour porter l’ensemble. À commencer par les pedal steel guitars, lap steel
Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :
Pour aller plus loin…

« Trois » d’Acid Arab : techno in the casbah

Tom Verlaine, disparition d’une figure du punk rock

Charles Lloyd : le saxo de la paix
