Le conseil de la semaine : « Koko n’aime pas le capitalisme à la plage »

Koko n’aime pas le capitalisme à la plage, Bandes détournées, 120 pages, 23 euros.
Koko, une gorille de gauche, rencontre Paul, un poulpe avec des superpouvoirs prémonitoires qui partage ses visions avec elle. Ensemble, ils imaginent des futurs possibles et tentent d’insuffler des idées révolutionnaires au commun des mortels. C’est le fil rouge de la nouvelle bande dessinée absurde, drôle et politique de tienstiens. Comme dans le premier tome, Koko n’aime pas le capitalisme, les strips au crayon de couleur s’enchaînent. On retrouve notamment Bernard Friot, le père Fouras, Mary Poppins ou encore Philippe Etchebest pour développer avec humour des imaginaires de gauche désirables.
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