Confédération paysanne : Monsieur le Président, nous ne lâcherons pas !

Plus de paysans, c’est aussi plus d’habitants, donc plus de services publics et marchands, plus d’activités.

Laurent Pinatel  • 15 mai 2014 abonné·es

Nous sommes à un tournant. L’industrialisation de l’agriculture se fait de plus en plus pressante, et chaque année, sous couvert de modernisation, le nombre de paysans diminue. Désormais, nous n’avons plus le choix : soit nous laissons faire, actant de ce fait la disparition des paysans, soit nous controns ce mouvement pour faire vivre une agriculture créatrice d’emploi, de dynamique des territoires, respectueuse de son environnement et de la souveraineté alimentaire, l’agriculture paysanne pour laquelle nous nous battons. La ferme-usine des 1 000 vaches est le symbole de ce point de non-retour. Elle n’est pas unique en Europe, encore moins dans le monde, mais doit-on pour autant s’y résoudre ? Aujourd’hui, vos discours

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Écologie
Temps de lecture : 4 minutes