C’est pas chez nous qu’on verrait ça
J’éprouve l’immense fierté de qui se sait vivre dans le Pays entre tous dont jamais – au grand jamais – les gouvernant·e·s ne mobiliseraient la soldatesque contre des foules épuisées par trop de mensonges et de forfaitures.

Ces caudillos latino-américains sont vraiment d’affreux jojos. Quand ils se hissent jusqu’au pouvoir suprême, c’est à chaque fois, tu noteras, sur la promesse qu’ils se mettront au service du peuple. Mais, chaque fois, on découvre bien vite qu’ils servent en réalité les intérêts particuliers d’une toute petite caste. Qu’ils prennent aux pauvres pour donner à quelques riches. Et qu’ils s’entourent, pour ce faire, de cliques de nervis sans foi ni loi prêts à toutes les brutalités, non