L’aurions-nous mal compris ?

Le 3 janvier 2018, Emmanuel Macron louait « la liberté de la presse » avec dans la voix d’émouvants trémolos.

Sébastien Fontenelle  • 29 mai 2019 abonné·es
L’aurions-nous mal compris ?
© crédit photo : Virginie NGUYEN HOANG / Hans Lucas / AFP

Le 3 janvier 2018, Emmanuel Macron, chef de l’État français, qui présentait ce jour-là ses vœux à la presse, avait fait plusieurs déclarations qui valent d’être, dix-sept mois plus tard, rappelées un peu longuement – et dont je me demande aujourd’hui si nous ne les avons pas mal interprétées.

Avec dans la voix d’émouvants trémolos, il avait notamment déclaré : « La liberté de la presse aujourd’hui n’est plus seulement attaquée par les dictatures notoires, elle est aussi malmenée dans des pays qui font partie des plus grandes démocraties du monde. Elle est malmenée

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Publié dans
De bonne humeur

Sébastien Fontenelle est un garçon plein d’entrain, adepte de la nuance et du compromis. Enfin ça, c’est les jours pairs.

Temps de lecture : 3 minutes