Boycott
Article paru
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Refus de « complicité » . Parce qu’ils jugent la politique scientifique actuelle désastreuse, plus de 2 000 scientifiques français et européens ont décidé de boycotter les évaluations de l’Agence nationale de recherche et de l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (ANR et Aeres). « La première absorbe l’essentiel des crédits et prive ainsi universités et grands organismes de leurs moyens, donc de toute autonomie […], dénonce la pétition que fait circuler Sauvons la recherche. Elle est en outre à l’origine de la prolifération de postes précaires […]. Quant à l’Aeres, dont les membres sont tous nommés, elle vient se substituer aux structures collégiales d’évaluation. »
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Pour aller plus loin…

La Midinale • 12 septembre 2025
« Le RN reste un parti hostile à tout mouvement social »
Safia Dahani, docteure en science politique, co-directrice de l’ouvrage Sociologie politique du Rassemblement national aux Presses universitaires du Septentrion, est l’invitée de « La Midinale ».
Par Pablo Pillaud-Vivien

Décryptage • 11 septembre 2025
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Ce que « Bloquons tout » peut construire en vue du 18 septembre
Plus de 200 000 personnes se sont mobilisées ce 10 septembre. Des chiffres qui dépassent largement les estimations du gouvernement, même si cela reste peu en comparaison de la lutte contre les retraites. Un tremplin vers la mobilisation intersyndicale du 18 septembre ?
Par Pierre Jequier-Zalc

Entretien • 11 septembre 2025
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« Nos enfants qui vivent mieux que nous est une idée très largement menacée »
Historienne et spécialiste des mouvements sociaux et des mobilisations féministes, Fanny Gallot appelle à « désandrocentrer » le travail pour appréhender la diversité du secteur reproductif, aujourd’hui en crise.
Par Hugo Boursier

Analyse • 11 septembre 2025
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10 septembre : « Pourquoi est-ce toujours aux jeunes des quartiers de rejoindre les mobilisations ? »
Le 10 septembre devait rassembler tout le monde. Pourtant, les jeunes des quartiers populaires étaient peu représentés. Absents ou oubliés ? Dans les rassemblements, au sein des associations et pour les jeunes eux-mêmes, la question s’est posée.
Par Kamélia Ouaïssa