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Politis  • 19 mars 2009
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Face à Patrick Poivre d’Arvor, dimanche, sur France 5, Ségolène Royal évoque son enfance sous l’autorité d’un père militaire. Elle et ses sept frères et sœurs ont « été éduqués de façon stricte », raconte-t-elle avant de conclure, dans un éclat de rire : « Si beaucoup d’enfants avaient la chance d’avoir cette éducation, il y aurait moins d’enfants paumés, perdus. » Tout de même, se renseigne PPDA, des garçons à qui on rase la tête quand ils ne filent pas droit, « ça devait être dur ? » . « Oui c’était dur, mais c’était fait avec l’amour parental au nom de la transmission des valeurs et de l’éducation » , explique l’ex-candidate du PS. Si son « côté adjudant » est, à ses yeux, « plutôt une qualité », elle reconnaît avoir conservé de ces années « le goût de l’autorité… mais l’autorité juste » . Amour et ceinturon, en somme.

Les échos
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