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Politis  • 19 novembre 2009
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Ségolène Royal et nos grandes chaînes de télévision viennent de nous donner encore un exemple des relations perverses des politiques et des médias ! Comme par hasard, les caméras étaient en gare de Dijon pour accueillir l’impromptue, samedi. Et les sujets proposés par TF 1 et France 2 ont été exclusivement centrés sur le sourire figé et forcé de l’ex-candidate venue semer la zizanie dans la réunion de son ancien complice Vincent Peillon. Un choix. Et une volonté de replacer la présidente de la région Poitou-Charentes au milieu de la scène médiatique. En réalité, Royal et Peillon se disputent le leadership d’un courant qui prône la disparition du PS au profit d’une « solution » centriste à l’italienne. C’est peut-être cela qu’il conviendrait de montrer…

Les échos
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