dans l’hebdo N° 1161 Acheter ce numéro
Le débat tant attendu sur l’engagement de la France en Libye était enfin programmé à l’Assemblée puis au Sénat pour mardi après-midi. Avec beaucoup de retard, puisque le gouvernement a pris l’initiative des bombardements sur les forces de Kadhafi dès le 19 mars. Le problème, c’est que l’on est passé entre-temps d’une mission de « protection des populations civiles », cernées à Benghazi par les avions et les chars de Kadhafi, à une chasse à l’homme visant le dictateur libyen lui-même.
Ce qui ne figurait évidemment pas dans la résolution 1973 de l’ONU. Malgré cela, la majorité et le Parti socialiste s’apprêtaient, mardi, à voter la poursuite de l’engagement français. L’heure est pourtant bien à la recherche d’une solution politique.
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